Greedy, le nouveau parfum de Weil.

Les parfums et moi, c'est un peu compliqué. Mon premier parfum a été le Amor Amor de Cacharel auquel je suis resté fidèle très longtemps et que j'ai remplacé plus tard par celui que je porte depuis des années, le Flora de Gucci. Bref, tout ça pour vous dire que j'ai voulu changer pas mal de fois, mais je suis plutôt difficile. Et il y a quelques temps on m'a proposé de tester Greedy, le nouveau parfum de Weil. Je n'avais comme information qu'une jolie description, un floral oriental doux et envoûtant. La note lumineuse de départ de la pomme, de la mandarine et du jasmin vient se fondre avec les accords «Greedy» de la note de cœur résolument sensuelle. La touche « velouté pêche » vient ensuite ponctuer un cœur floral suave et légèrement sucré qui favorise l’émotion.

Mais avant, petite histoire de la marque, qui commence aux années folles. Créés par trois frères, jeunes, les Parfums Weil puisent leur inspiration de départ dans la fourrure. La famille Weil prend le temps d’y lancer l’huile parfumée: Secret de Venus. Puis l’activité reprend à Paris en 1946 avec la création de Padisha et Antilope. En 1984, les parfums Weil reviennent sur le devant de la scène avec la création d’une eau de Parfum fleurie et légèrement fruitée Bambou. En 2002, la marque a été rachetée par Aroli – Aromes Ligeriens. Depuis, 10 fragrances ont été créées. La distribution sélective de ses produits contribue à sa renommée internationale.

Je trouve le packaging de ce parfum, ainsi que les autres de la marque, est plutôt joli et sophistiqué. Mais, personnellement, je n'ai pas été séduite, l'odeur est beaucoup trop forte à mon goût. Je ne saurai pas vous la décrire, donc, pour celles qui s'y connaissent, je vous laissent les Notes de tête (Pomme - Jasmin - Mandarine), les Notes de cœur (Rose absolue - Pêche - Muguet - Santal) et les Notes de fond (Patchouli - Tonka - Oud - Musc - Vanille). Vous l'aurez compris, je n'ai pas été séduite, mais peut être que vous le serez davantage. En revanche, j'ai été très séduite par la Brume de Vanille de Jean Daveze, du même groupe.

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